
Sortie : 8 février 2024
Résumé :
Plongez dans l’univers d’Olympica, une œuvre visionnaire qui interroge l’avenir de notre société à travers le prisme des Jeux Olympiques, devenus un épicentre de nos existences. Sept histoires extraordinaires et ferventes vous attendent, chacune explorant les ramifications d’une passion mondiale pour le sport, où les frontières entre ambition, technologie et humanité se brouillent. Découvrez les destins entrelacés d’athlètes, de spectateurs et de professionnels, tous unis par la quête de l’excellence et de la gloire nationale. Olympica est une invitation à réfléchir sur les enjeux actuels et futurs d’un phénomène qui façonne nos vies, nos rêves et peut-être, notre futur. C’est une œuvre qui interroge : représentent-ils l’apogée de notre société ou sont-ils plutôt à l’image de ses difficultés ? Une lecture mettant au défi nos esprits de s’ouvrir sur les perspectives nouvelles d’un monde en constante évolution.
L’avis d’Emy :
Dans cette lecture, nous découvrons 7 nouvelles et nous rencontrons différents personnages. Vous l’aurez vu avec la couverture, qui est d’ailleurs vraiment très belle, on a le thème des Jeux Olympiques, le tout dans un univers futuriste et des nouvelles technologies.
Chacun des personnages que l’on va découvrir, rencontrer et apprendre à connaître ont tous des vies différentes, des personnalités différentes, des statuts différents mais tous ont un point commun leur passion pour les jeux olympiques.
Les nouvelles ne font pas toutes la même longueur. Chacun a une intrigue et un petit quelque chose qui rend la lecture curieuse. Il y en a des plus complexes, d’autres plus prenantes.
Comme le dit le résumé, c’est une œuvre qui nous interroge beaucoup, qui nous permet de nous ouvrir à d’autres perspectives.
J’ai trouvé cette lecture intéressante pour ce qu’elle nous transmet que ce soit les questionnements ou d’autres pensées, mais aussi pour les thématiques qu’elle exploitait.
Je remercie infiniment les éditions Baudelaire pour leur confiance et ce service presse (via SimplementPro).
3,5/5


2 réflexions sur “Chronique : Olympica, Philippe Delamare.”