Résumé :

Quelque part dans la région des Terres vertes…
Azilis, la fiancée d’Ismir, est enlevée presque sous ses yeux. Le jeune homme se lance à sa poursuite, bien décidé à la sauver. De périple en périple, d’aventure en aventure, traversant des forêts hostiles, des marais mortels, subissant les attaques de nombreuses créatures, Ismir ne se doute pas que son voyage l’entraînera bien loin de chez lui.

« Les dernières ruines du monde » est une épopée fantastique dans un monde vaste et sombre, un roman haletant aux multiples rebondissements.

La première partie de cet ouvrage, « Les Terres vertes », est lauréate du Prix Fondcombe 2021.

L’avis d’Emy :

Nous rencontrons Ismir, sa fiancée est enlevée sous ses yeux. Ismir est bien décidé à la sauver et se lance donc à sa poursuite. Il va devoir affronter de nombreux obstacles, de nombreux périples, de nombreuses créatures. Il va traverser de nombreux paysages, parfois assez hostiles.

La vie de Ismir est bouleversée quand sa fiancée se fait enlever. On découvre un personnage déterminé, prêt à tout pour la ramener à lui. J’ai tout de suite accroché avec son personnage. Le travail sur sa psychologie est bien fait. Il a un petit quelque chose qui captive et qui le rend fort.

On part avec Ismir dans cette aventure qui lui réserve beaucoup de rencontres avec des personnages qui auront leur importance dans le récit. Je me suis attachée à Clovis je dois dire. D’ailleurs Ismir est loin de se douter jusqu’où va l’emmener cette aventure, il va beaucoup affronter, subir, mais aussi apprendre sur lui.

Jusqu’à la fin l’intrigue est présente. Elle est d’ailleurs dynamique en rebondissements, en rencontres, mais aussi plutôt bien ficelée. Va-t-il réussir à retrouver sa fiancée ? Va-t-il réussir à affronter tous les dangers qui seront sur sa route ? On avance peu à peu dans cette aventure et il y a un petit côté prenant. Le suspense est aussi présent. On le ressent bien dans l’atmosphère du livre.

On peut trouver des illustrations dans le livre, j’ai vraiment apprécié ça. Notamment pour les créatures qu’on peut ainsi mieux imaginer avec le bestiaire à la fin du livre. La plume de David Bournas est fluide et nous transporte plutôt bien dans son imaginaire, dans son univers fantastique regorgeant de créatures et divers paysages.

J’ai apprécié découvrir la région des Terres vertes et celles des Grandes forêts. C’est un récit fantastique plaisant qui m’a fait passer un bon petit moment.

Je remercie infiniment l’auteur pour ce service presse.

Citation :

« Il ne craignait pas pour lui, toutes ses peurs étaient tournées vers Azilis, c’était pour elle qu’il était ici et c’était pour elle qu’il se devait de continuer… »

3,75/5

Où le trouver :
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