Chronique n°732 : Hunger Games : La balade du serpent et de l’oiseau chanteur, Suzanne Collins.

Pocket
595 pages
Date de sortie : 20 mai 2020

Résumé :

​Dévoré d’ambition

Poussé par la compétition

Il va découvrir que la soif de pouvoir a un prix

C’est le matin de la Moisson qui doit ouvrir la dixième édition annuelle des Hunger Games. Au Capitole, Coriolanus Snow, dix-huit ans, se prépare à devenir pour la première fois mentor aux Jeux. L’avenir de la maison Snow, qui a connu des jours meilleurs, est désormais suspendu aux maigres chances de Coriolanus. Il devra faire preuve de charme, d’astuce et d’inventivité pour faire gagner sa candidate.

Mais le sort s’acharne. Honte suprême, on lui a confié le plus misérable des tributs : une fille du district Douze. Leurs destins sont désormais liés. Chaque décision peut les conduire à la réussite ou à l’échec, au triomphe ou à la ruine.

Dans l’arène, ce sera un combat à mort.

Pour assouvir son ambition, Coriolanus parviendra-t-il à réprimer l’affection grandissante qu’il ressent pour sa candidate, condamnée d’avance ?

L’avis de Emy :

Ce préquel nous offre une vision et une découverte du passé de Snow. Alors qu’on le connaissait manipulateur, ambitieux, assoiffé de pouvoir, on le découvre très différent jusqu’à ce qu’il devienne la personne qu’il est. Une personne qu’on déteste toujours autant.

C’était un plaisir de me plonger dans cette histoire, c’était agréable et j’ai passé un très bon moment. L’histoire se lit vraiment très vite et j’ai vraiment aimé retrouver l’univers.

J’ai apprécié voire l’évolution de Snow, d’en apprendre plus sur son passé, sur lui mais aussi sur Panem, et la guerre contre le Capitole. Tout ceci était vraiment intéressant !

Lucy Gray est un personnage qui m’a fait penser quelque fois à Katniss, pas parce qu’elle lui ressemble mais pour sa façon de dire ce qu’elle pense. Elle est fidèle à elle même et ses convictions et ne plie pas envers ce qu’elle ne croit pas. C’était un personnage intéressant et sympathique.

Les Hunger Games que l’on connaît dans la saga sont différents de ceux que l’on va découvrir ici. Alors qu’on les connaît comme un spectacle qui doit être vu de tous ici c’est plus renfermer, moins spectaculaire.

Le seul petit point que je dirais est que j’ai trouvé la dernière partie du livre par instant un peu trop dans la description. Certains passages étaient longs. Mais c’était une lecture surprenante, intéressante et que j’attendais avec hâte.

Je conseille cette lecture à tous ceux qui aime l’univers d’Hunger Games, vous allez forcément aimer.

« Alors que la journée s’annonçait si prometteuse, il lui semblait que tout s’écroulait autour de lui. D’abord la menace de perdre son appartement, puis cette assignation du plus minable des tributs – une fille qui, à bien y réfléchir, devait être folle à lier –, et maintenant la révélation que le doyen Highbottom le détestait suffisamment pour ruiner ses chances d’obtenir un prix et le condamner à vivre dans les districts !
On savait bien ce qui se passait quand on partait pour les districts. Tout le monde vous oubliait. Complètement. Aux yeux du Capitole, c’était comme si vous étiez mort. »

4,5/5

Où le trouver :

Amazon

Fnac

3 réflexions sur “Chronique n°732 : Hunger Games : La balade du serpent et de l’oiseau chanteur, Suzanne Collins.

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