
SORTIE : 14 octobre 2021
PRIX EBOOK : 4,99 €
PRIX PAPIER : 14,90 €
Résumé,
Paris est une capitale monstrueuse.
Elle dévore et vomit ses habitants sur ses trottoirs, sans demander son reste.
Cédric pensait pouvoir y vivre sa nouvelle vie… Sa rencontre avec Marion Müller, une dirigeante de friperie atypique, arrivera-t-elle à le sortir du trou à rat dans lequel il s’est enterré ? La Grandeur n’a pas de prix. Prostitution, ambition et richesse s’entrechoquent face à un passé sombre et au souvenir d’Amélia.
Ce qu’en pense Julie,
Nous découvrons ici le personnage de Cédric, un jeune homme qui commence une nouvelle vie, à Paris. La fameuse capitale… la ville de tout les possibles… mais surtout une ville complexe qui n’épargne personne. Un jour il va rentrer dans une friperie avec espoir, en lisant une annonce pour un emploi, après tout pourquoi pas ? Cédric souhaite finalement juste avoir une vie meilleure. Nous allons alors le suivre dans son quotidien et son évolution. Rien ne sera facile et il se sera pas épargné lui non plus, d’ailleurs Paris n’est peut-être pas toujours ce que l’on s’imagine… Avec lui, nous allons alors découvrir aussi d’autres personnages qui vont nous raconter un petit bout de leur histoire, mais qui auront surtout tous leur importance.
J’ai trouvé incroyable cette manière dont l’auteur a d’aborder plusieurs thèmes dans ce livre à travers ses personnages. Aussi, c’est très prenant et même si je ne savais pas trop à quoi m’attendre au début de ce livre, qu’est ce que je me suis régalée au fil des pages ! Dans le résumé, l’auteur le dit « La Grandeur n’a pas de prix » et c’est clairement ce que ce livre va vous raconter ! J’ai vraiment beaucoup aimé à la fois les personnages mais aussi l’histoire en elle-même. Ça change un peu aussi de ce que je lis habituellement, ou du moins en ce moment et finalement, cela en fût très plaisant et dépaysant également.
Ce que j’ai adoré dans ce livre, c’est vraiment l’écriture de l’auteur qui est juste incroyable, avec beaucoup de justesse, un peu de complexité là où il faut, un côté très addictif, beaucoup d’émotions et de sentiments divers… il y a ce petit truc dans l’écriture de Gaëtan Ballester qui rend ce livre hyper bien construit. On ressent d’ailleurs qu’il y a un vrai travail ici et c’est donc bon pour une très bon livre qui vaut carrément le coup d’être lu ! Du moins si vous appréciez ce genre littéraire. Petit point important sur la forme, j’ai trouvé ça très sympa d’avoir des illustrations à chaque début de chapitre. Ça donne un petit quelque chose en plus.
Je remercie donc encore l’auteur pour l’envoi de ce service presse car c’est un roman plus que réussi à mes yeux et qui a définitivement su me plaire du début à la fin.
Citation,
« Je veux devenir quelqu’un… Je vais devenir quelqu’un… Je deviens quelqu’un… Je suis déjà quelqu’un d’important. Sans s’en rendre compte, ses lèvres remuent en articulant ces mots.
Ils ont encore du mal à bien se placer dans son esprit, une seule phrase est déjà certaine.
Je ne suis pas insignifiant. »
5/5

Où le trouver :
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3 réflexions sur “Chronique : Les morts insignifiants, Gaëtan Ballester.”