
Date de sortie : 14 février 2021
Résumé :
Nous retrouvons dans le tome 3 Nolwenn Du Maurier et Bellamy Keane qui poursuivent leur découverte de la sensualité à travers le monde de l’art.
On parlera ici des sensations intenses de la sculpture, de Londres à Venise en passant par Florence.
La terre et la pierre sont-elles garantes de l’éternité des sentiments ? Découvrez la réponse dans cet ultime opus d’une histoire singulière, où la passion amoureuse est omniprésente.
L’avis de Emy :
Un troisième tome qui suit la traces des deux premiers. C’était un plaisir de retrouver Nolween et Bellamy. Ce tome est plus bouleversant que les précédents. On est touchée en plein coeur.
J’ai été surprise et prise au dépourvu par la fin. Je ne m’y attendais pas. Nolween et Bellamy sont toujours aussi attachants, aussi touchants. Les quitter était un peu triste, je l’avoue car je me suis attachée à eux.
La plume de l’auteur est très agréable à lire. On est charmé. C’est fluide, facile à lire et très poétique. C’est bien écrit. Il y a beaucoup d’émotions qui nous sont retransmis. L’érotisme est aussi présent mêlé à la passion et à l’amour. Un voyage de sensualité vraiment plaisant.
Cette fois nous partons vers la sculpture. J’ai adoré cet aspect. C’était très intéressant. Il y a tout un travail de recherche derrière et on le sens. L’univers que l’auteur nous délivre est prenant et addictif.
Dans l’ensemble, c’était vraiment une trilogie vraiment intéressante et sympathique à lire. C’est une ode à la sensualité, à l’amour et à l’art. Une très belle découverte pour ma part. Je ne peux que vous conseiller cette trilogie qui vous fera voyager et qui vous transportera.
Je tiens à remercier l’auteur pour m’avoir permis de découvrir ce troisième tome.
» Il y a comme un paradoxe dans l’acte de figer par une sculpture un instantané de sensualité. On n’associe pas spontanément érotisme et immobilité. Qui dit étreintes dit mouvements, succession de positions, et le plus souvent multiplicité des partenaires : au-delà du plaisir indéniable que l’on peut retirer de caresses solitaires, il faut au minimum être deux pour s’étreindre.«
4/5

Où le trouver :
Chronique : L’Atelier du Désir, tome 2 : Peins-moi (encore), Fédérick Tubiermont.
Une réflexion sur “Chronique n°903 : L’Atelier du Désir, tome 3 : Sculpte-moi (le corps), Frédérick Tubiermont.”