
Black Ink, 399 pages / Date de sortie : 3 mai 2019.
Résumé :
Moi, c’est Robyn, jeune mère célibataire au langage fleuri, maladroite et tatouée. Politiquement incorrecte et fière de l’être !
Le seul prince charmant auquel je crois est le héros du conte que je lis à ma fille tous les soirs. Mon ex a failli me démolir et jamais plus je ne laisserai un homme me briser. Je jongle entre mon travail de barmaid et de tatoueuse pour joindre les deux bouts. Ma princesse et moi, c’est nous deux contre le reste du monde !
Donc, je ne succomberai pas aux beaux yeux turquoise du grand ténébreux solitaire qui s’est installé dans l’appart juste en face de chez moi. Je ne marcherai pas dans une crotte de chien devant lui du pied droit. Je ne me vautrerai pas à ses pieds en me demandant si je n’ai pas oublié d’enfiler une culotte sous ma robe. Et bien sûr, je ne le frapperai pas au visage avec une courgette génétiquement modifiée.
N’empêche, le mystère qui auréole ce superbe spécimen italien m’attire irrésistiblement, même si la plupart du temps, il est profondément antipathique et indéniablement glacial. C’est grave docteur ?
Ce que pense Ludivine.
J’ai envie de dire : encore une fois j’attire encore et toujours le même prénom. À croire que je fais exprès de lire que des histoires avec le prénom Valentin, bref passons car au final j’ai ADORÉ ce livre !
On commence l’histoire avec Valentin qui emménage dans un nouvel appartement en étant le voisin de Robyn. Entre eux ça sera tendu au début, mais la petite fille que Robyn saura donner de la douceur dans cette tension. Et surtout Valentin se sentira concerné quand il arrive des problèmes à Robyn.
Tout d’abord le personnage de Robyn m’a tout de suite plu, elle est farfelue, folle, pétillante, colorée malgré toute la noirceur qui lui est arrivée. C’est vraiment une jeune femme qui m’a touché, autant par son caractère, sa joie de vivre mais aussi sa dévotion sans faille à sa petite fille. Cette dernière est tout simplement adorable et tellement intelligente et m’a touché en plein coeur. Ensuite il y a Valentin, difficile de l’aimer au début mais il m’a rendu très curieuse, j’ai adoré apprendre à la connaitre et à le voir évoluer. Il n’est pas aussi froid qu’il le prétend et peut faire preuve d’élans chevaleresques quand ça lui tient à coeur. Un vrai coup de coeur pour tous ces personnages !
Vous l’avez donc compris, j’ai adoré cette histoire dans laquelle l’autrice nous plonge avec une écriture addictive. C’est une histoire colorée rempli d’humour, d’audace, aux répliques tordantes et avec beaucoup d’amour. Rien de mieux pour faire vibrer mon petit coeur, elle se place dans mes histoires favorites et je pourrai la relire à nouveau. Je vous la recommande fortement !
Oh ! J’allais oublier de mentionner le chien de Valentin. Si vous voulez me faire plaisir mettez des animaux dans vos histoire haha.
Ma note :
5/5
Où le trouver :
8 réflexions sur “Chronique n°442 : Le prince charmant existe ! (il est Italien et tueur à gages), Anna Triss.”